
Depuis le 1er janvier de cette année, les 12000 plus grandes entreprises européennes doivent publier leur rapport extra-financier selon la dynamique lancée par l’Union Européenne dans le cadre de la CSRD (Corporate Sustainability Reporting Directive).
En 2026, ce sont quelques 45000 entreprises qui vont afficher le fruit de leur analyse de double matérialité et en 2027, les PME cotées viendront rejoindre les rangs. Bien sûr, c’est sans penser à tous les fournisseurs de toutes ces sociétés qui vont devoir aussi livrer les bons indicateurs à leurs clients pour consolider toutes les données.
Les entreprises vont identifier tout à la fois les impacts environnementaux et sociaux qu'elles engendrent, et les risques que ces mêmes enjeux représentent pour l’entreprise elle-même. Ce qui revient à mettre au même niveau les informations financières et celles sur la durabilité. Un véritable séisme dans le monde de la valorisation des entreprises.
L'argent ne serait-il plus la seule valeur centrale ?
Mais afficher pour afficher est-il bien utile ? N’est-il pas plus intéressant d’exploiter tout ce travail d’analyse et de récolte d’informations pour se poser les bonnes questions ?
Finalement la CSRD ne serait-elle pas un excellent déclencheur d'innovation ?
N’est-ce pas le bon moment pour réfléchir à faire mieux, autrement ? N’est-ce pas utile pour anticiper les virages ? Préparer les bifurcations ? Envisager les investissements matériels, humains, marketing, financiers… ? Comment la CSRD peut vous aider à innover ? C’est en tout cas ce que ce post essaie de dévoiler.
Chez POM3, nous sommes attachés au temps long. Avec vous, nous explorons de nouvelles perspectives et nous sommes toujours prêts à trouver l’opportunité derrière la contrainte. Nous vous aidons à révéler votre stratégie d’avenir.
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