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Et si l'ère du moi touchait à sa fin ?

  • Photo du rédacteur: Valérie CAILLIEZ
    Valérie CAILLIEZ
  • 20 mai
  • 1 min de lecture


Pendant des décennies, on nous a vendu l’individu-roi. Le "self-made man", le "personal branding", l’"égo-casting », la réussite personnelle étaient l’étalon suprême.


D’ailleurs, c’est une infime poignée d’individus qui possède toute la richesse du monde.


Mais au fond… est-ce que ça tient encore debout ?

  • Le monde brûle.

  • Les gens s’effondrent.

  • Les entreprises tâtonnent.


Et si l’avenir appartenait à celles et ceux qui choisissent le collectif plutôt que l’individu ? À celles et ceux qui comprennent que réussir seul n’a plus aucun sens si tout s’écroule autour ? Et si l'ère du moi ne devenait plus qu'un lointain souvenir ?


Cette nouvelle Hypothèse de futur se veut provocatrice, une fois n’est pas coutume. Elle porte en elle une urgence, très clairement, et se définit comme une interrogation salvatrice sur le futur que nous voulons vraiment.


Prenons de la hauteur sur la fatuité du monde qu’on nous propose depuis des décennies pour réfléchir à ce qui est vraiment important pour demain.


Ne sommes-nous pas arrivés au bout de l’exercice ? N’est-il pas intéressant de penser à changer de modèle ?


Plutôt que de penser Moi je, ne devrions-nous pas enfin penser Nous ? La notion de bien commun n’est-elle pas plus centrale que la satisfaction d’un seul ?


N’est-il pas temps de se demander : Et si faire société était notre dernière chance ?


Sources

Préparation communautaire à l'effondrement : https://bit.ly/4j7vb8c  et  https://bit.ly/4jcU42r 

Santé mentale et lien social : https://bit.ly/4kqQfaS   

Intelligence collective en entreprise : https://bit.ly/3GZAn0m 

Science citoyenne : https://bit.ly/44FqfE1 




 

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