Et si on arrêtait de prendre les pommes pour des poires ?
- Valérie CAILLIEZ
- 17 juin
- 2 min de lecture

Eve, première influenceuse food de l’histoire, a quand même réussi l’exploit de faire manger une pomme à une poire. Le monde ne s’en est jamais remis. Depuis, on croque, on digère, on accuse, on crée des empires, des régimes, des applications.
Et pourtant… on continue à sous-estimer le pouvoir prospectif de la pomme.
Vous saviez qu’elle peut :
améliorer la santé publique,
réinventer les filières locales,
nourrir nos imaginaires,
provoquer des guerres de Troie ?
« Quand on veut des pommes, il faut secouer le pommier. » — Proverbe bulgare
Et si le futur avait justement besoin qu’on le secoue un peu ?
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=> Faut-il un label AOP (Avenir d’Origine Probable) pour chaque fruit stratégique ?
=> Est-ce que Newton aurait eu ses idées sans sa pomme ?
=> Combien de pommes croquées faut-il pour devenir une licorne ?
Vous l’aurez compris : on ne fait pas de confiture d’avenir sans écraser quelques pommes.
L’Hypothèse de futur de ce mois-ci adopte un nouveau genre tout en explorant les bienfaits de la pomme. Venez découvrir un carrousel de pommes pas tout à fait comme les autres, où il est question de liberté, de pourriture, de discorde, de santé et… de brouette.
Croquez-y à belles dents. Le jus de demain est peut-être dedans.
Sources :
Des signes qui ne trompent pas, la pomme prend du galon :
avec des biocapteurs spécifiques dans les vergers. L'agriculture se modernise et l'intelligence artificielle l'aide à se raisonner,
comme ambassadrice du terroir local ou élément clé des politiques alimentaires urbaines,
comme booster de santé avec des effets bénéfiques dans la nutrition, des apports indispensables au microbiote et même un bonus si elle est issue de l'agriculture biologique,
comme égérie des soirées et repas avec le cidre artisanal, elle devient la dernière boisson à la mode et dynamise le marché,
sans oublier les amoureux des pommes et la Normandie, son terroir de prédilection.
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