top of page
Rechercher
  • Valérie CAILLIEZ

Hypothèse de futur : Et si nous cultivions notre jardin...


Introduction de l'Hypothèse de futur : et si nous cultivions notre jardin
Hypothèse de futur : Et si nous cultivions notre jardin

Avec les beaux jours, les envies de jardinage repartent de plus belle. C’est la saison pour biner, semer, planter et préparer les récoltes à venir. L’embellie du marché du jardinage, même si elle souffre de l’inflation, poursuit sur sa lancée post crise sanitaire.


Rural ou urbain, individuel ou communautaire, le jardin est la nouvelle pièce de la maison, une porte ouverte sur la nature, une reconnexion au rythme de la terre.


Et si nous devenions tous jardiniers ? Si nous réapprenions les rudiments de la vie sédentaire pour gagner en résilience ? Une grande partie d’entre nous ne connaissent que le goût des fruits et légumes de l’agriculture extensive et certains même ne savent pas reconnaitre une courgette d’un concombre.


Dans un monde où nous sommes tributaires des céréales d’un autre pays, des fruits d’un autre et pourquoi pas, dans le cas de la France, des graines de moutarde d’un troisième, n’est-il pas temps de se poser la question de l’avenir ?


Si retourner au jardin était le meilleur chemin d’un avenir meilleur ? Si le contact de la terre sur nos mains nous redonnait l’envie de protéger notre environnement, de prendre soin de nous et des autres ? Si jardiner n’était que le début d’une santé physique et mentale recouvrée ?


Cette nouvelle Hypothèse de futur explore les conséquences et les opportunités de la généralisation du jardinage. Une façon peut-être de se réapproprier la citation de Voltaire dans Candide, "il faut cultiver notre jardin".


Cette célèbre phrase nous rappelle l'importance de prendre soin de notre environnement immédiat, tant sur le plan physique que métaphorique. En investissant dans le jardinage chez les particuliers et les jardins partagés, nous investissons dans notre bien-être individuel et collectif, dans la durabilité de notre mode de vie et dans la construction d'une société plus solidaire et résiliente. En cultivant notre jardin, nous semons les graines d'un avenir meilleur pour nous-mêmes et pour les générations futures.


Alors, prêts à enfiler vos bottes et vos gants ?






bottom of page